25.7.05

Un samedi soir sur la Terre.

Bruxelles, 23 mai 2005. La Capitale Belge et Européenne est comme à son habitude, peuplée de milliers de jeunes qui vont danser et boire jusqu'à l'aube. C'est la fête foraine, juste à côté de la gare du midi.
L'air est doux. Florian m'accompagne pour la soirée. Direction la grand place et ses alentours. Mon Dieu que cette place est encore plus belle la nuit.
Je n'ai pas faim, je regarde Florian dévorer une spécialitée venue de Grèce. Je sirote un coca light et un café. Il me parle, me sourit, il est heureux. L'odeur des frites et de la mayonnaise m'écoeure, je n'ai qu'une hâte, sortir d'ici.
Nous marchons dans la rue, au milieu des terrasses, des touristes, des badauds. Contrairement à Paris il n'y a pas de spectacles de rues et d'artistes en tout genre.
Florian veut que nous allions au Duchesnoy. Allons y alors, je ne peux pas lui refuser. Nous consommons "sur place", au pied du bar au milieu du brouhaha, de la musique trop forte, des vidéos hard gay, de Monsieur muscle et de son barman. Puis nous faisons un tour en bas et dans les étages où nous croisons des ambiances différentes et des dizaines de garçons plus ou moins jeunes tous avides d'une sexualité physique et bestiale. Les boxes sont ouverts, un jeune attend là qu'on vienne s'occuper de lui et lui donner le plaisir qu'il désir.
"- Bonsoir,
- Salut, Dimitry et toi ?
..."
Peu importe nous ne sommes pas ici pour faire connaissance. Le sperme et l'urine coulent à flot. Je m'attends à tout moment à sentir des mains entreprenantes... personne n'osera, étrange.
Nous ressortons direction "The Slave" en passant devant "The U". Bruxelles n'est pas Anvers ni Amsterdam mais la frontière n'est pas loin.
Ambiance plus "aérée" dans ce club. Après une nouvelle consommation nous revisitons les lieux en sous sol. La pénombre est totale. Cà et là des groupes observent, attendent un signe, une invitation. Le noir permet de cacher le pire.
Nous sortons enfin. Je suis épuisé, repus, j'ai trop bu.
Florian à qui j'avais parlé de "Chez Maman" veut absolument que nous y allions. "Ok, mais pas longtemps, je suis nase".
Magnifique et superbe. L'ambiance n'a rien à voir avec les 2 clubs précédents. Je m'attendais à du travestisme et du transformisme lourd dingue et bien non. Tout d'abord ça n'est pas un show incéssant mais juste quelques animations distillées à merveille dans une ambiance musicale assez variée. Je suis plus dans mon élément. Ici garçon et fille se cotoyent, les corps se trémoussent, les fesses s'agitent sous les jeans serrés, les t shirt sont courts, les garçons sont juvéniles et séduisants, presque innocents. La tête me tourne.

Maman descend lentement l'escalier et fait son show, debout sur le bar, et présente ses filles. L'une est parfaite, l'autre ne le sera jamais, la nature de lui a pas donné le physique de son fantasme.
Merci Maman pour cette fin de soirée, fais moi penser de revenir, tu me présenteras ton petit barman, je saurai m'en occuper ;))

Je déteste la migraine.

Ca m'a pris tout à coup cet après midi. Elle est arrivée lentement mais surement, sournoisement même. Elle ne me lache pas depuis. Trois heures de route n'ont rien arrangées sans compter quelques soucis de carburant qui ont emplifiés mon stress.
Je déteste la migraine, elle me fatigue et m'épuise. Peut être ai je tout simplement faim à force de ne pas manger.
Demain elle sera partie et oubliée, comme toujours.

20.7.05

Souvenirs d'enfance.


C'était un petit dessin animé au beau milieu de Récré A2 ou de Casimir, ma mémoire me fait défaut. Souvenez vous :

Linéa, La (1975-1984)
Genre :
Dessin animé
Langue : Italien
Pays d'origine : Italie

Synopsis
Le dessin animé « La linéa » a été créé en 1969 par le dessinateur Italien Osvaldo Cavandoli pour un spot publicitaire de la marque Carosello. Il met en vedette un homme vivant sur une ligne horizontale infinie. Quand il se retrouve devant un problème, le personnage fait appel à l'artiste, dessinant au fur et à mesure, des éléments de décor. C'est au milieu des années soixante-dix que La Linéa connut son plus grand succès en Europe, mais ce que les possesseurs de télés noir et blanc ne savaient pas, c'est que la couleur du fond changeait avec l'humeur du personnage et de ces rencontres.

Synopsis écrit par Gino Le Brun

Célèbre petit personnage râleur évoluant sur une ligne en craie. Il ne cessait pas de gueuler après son dessinateur pour qu'il lui crée des objets dont il avait besoin.

À chaque fin d'émission, il arriva au bout de la ligne, et tomba dans le vide.

Synopsis écrit par Nicolas Roberge



Morceaux choisis :

http://www.koreus.com/files/200407/linea_musicien.html

http://www.koreus.com/files/200407/linea_magicien.html

"I believe i can fly"

16.7.05

La France en musique.

Stéphane se retrouve le temps d'un mariage dans la peau du Maitre de cérémonie. Il doit lors d'un mariage Franco-Argentin assurer l'information et la présentation des animations pour les convives.
Il m'a donc interrogé sur la musique ou la chanson qui selon moi représente la France à travers le monde pour l'utiliser comme jinggle. Sondage fort intéressant. Je pensais à "Douce France" ou "La mer" qui doivent être célèbrent à travers le monde. Lui me parle de la musique d'Amélie Poulain, ou de la Marseillaise (révoltant non ? ;-)).
Bref je pensais qu'un bon ambassadeur serait Trenet, Gainsbourg, Piaf, Brassens, Hallyday (quoi que...), Nougaro, Juliette Gréco,Line Renaud, et tant d'autres encore.
Je me demande bien quel artiste Français vient en premier à l'esprit des étrangers pour symboliser la France.

"Garçon ? un thé sans toasts !"

Un bon thé "sec" pour laver les excès de la veille. Déjà 10 ans que mon frère et ma belle-soeur se sont dit oui. L'occasion d'un barbecue champêtre avec quelques témoins de l'époque. L'occasion aussi de conter l'histoire à mes 2 neveux arrivés depuis, de feuilleter les albums photos. Je n'ai pas changé en 10 ans à part cette coupe de cheveux mais il est effrayant de voir combien certains ont changé, la marque du temps est bien là sur les visages et les corps. Et puis il y a les disparus depuis ce temps, les grands parents notamment. Et enfin les moments forts, la cérémonie, le repas, les animations...
Bref une soirée souvenirs autour d'un repas simple mais trop copieux et trop arrosé.
Il faut pourtant se lever, aller vaquer aux obligations que mon contrat de travail m'impose.
Ce matin c'est donc un thé allongé et sans toasts pour une fois.

14.7.05

Dans les bals populaires...

Dansez, dansez, dans les bals populaires, les bals des pompiers. Brillez, brillez, les feux d'artifice. Défilez, défilez, les armées du pays.
La France fête la Révolution Française. Certainement la dernière fête populaire où la France danse, rie, s'amuse dans l'insoucience et la joie mesurée, loin des beuveries agressives de la fête de la musique.
Trente six mille communes autour d'un même évènement. Soixante cinq Millions d'habitants, de résidents, de souche et d'adoption qui font la fête, admirent les militaires, les feux et les bals.
Traditions perpétuées depuis 1789 sans toujours se souvenir pourquoi.
Ce défilé sur la plus belle avenue du monde, unique en son genre à travers le monde, fierté et orgueil au programme, parades devant le Brésil pour cette année. Souvenirs de mon service nationale au sein de la musique militaire, dont un défilé sur les Champs en mai 94.
Les années passent, la tradition reste, au pas, au pas...

9.7.05

Quand l'actualité me dépasse.

Je pensais en début de semaine à illustrer dans l'un de mes post, une réflexion qui me trotte en tête depuis quelques temps. Cette illustration est basée sur des images des Twin Towers et du Ground Zéro déblayé des milliers de tonnes qui l'encombrait ; une place "nette" en quelque sorte. Malheureusement l'actualité Londonniène a été plus vite que moi pour faire rejaillir les images sordides.

Je prends donc le temps avant de mettre en ligne ce post. Peut être l'illustrerai-je d'une autre façon d'ailleurs. La réflexion est l'une des vertues de la Sagesse.

6.7.05

"Combien ?"

Tout se monnaye, tout s'achète, tout se négocie, tout a une côte, un marché, une valeur financière ou sentimentale, tout se troque...
Depuis que le monde est monde l'économie règne et dirige le monde. Au commencement on troquait 2 lièvres contre un saumon, un veau contre un sanglier, que sais je encore... On vend tout et rien de l'objet au service, de son travail à son plaisir, jusqu'au plus ancien métier du monde, la vente de son corps.
Et pourtant il est parfois difficile de fixer le "prix", la "valeur" des choses. Les critères sont divers entre l'offre et la demande, la rareté, la confidentialité, l'usage...
Il y a des biens si chers qu'ils ne s'achètent pas, même pour l'homme le plus riche de notre Terre. Ils peuvent se négocier sous diverses formes...
Mais quel est le prix du silence ?

Bye bye Paris, Bonjour London.

Beau combat mené ce jour entre Paris et Londres, olympique ou non, fair play ou non, soyons bon joueur. Londres est sur le podium, Paris s'est battue jusqu'au bout. Tony BLAIR a décidement le vent en poupe, un garçon à suivre.
Bravo à Delanoë et toute son équipe pour ce combat acharné.
"L'essentiel est de participer" disait Coubertin.

5.7.05

La France Olympique.

Paris passera t elle de candidate a élue ?
Réponse dans quelques heures...
La France retient son souffle.

Paris by night.

4.7.05

En dur ou gonflable ?

C'est un vieu rêve qui revient de façon permanente. Pouvoir chaque jour me délasser dans un grand bain d'eau tiède, nager quelques brasses, plonger, sauter, m'allonger sur un coussin flottant... se laisser réchauffer par le soleil au bord de la piscine sur une terrasse en pierre bordée de lavande.
Cette idée me poursuit et finalement des solutions existent. Mon jardin est suffisament grand pour accepter cette intégration. Idéalement il faut intégrer un bassin sous véranda pour permettre l'ouverture l'été et la couverture l'hiver pour un usage à l'année. L'eau sera facile à fournir gratuitement par récupération. Le chauffage par système solaire permettra une grande économie. Quand au chlore ça n'est pas un problème.
Faut il un système en dur ou un système gonflable ? J'étudie les différentes solutions avec une impatience d'enfant.

Quand demain s'écrit au présent.


Et si Paris avait ses chances.
Et si Paris gagnait les JO 2012.
Et si Paris retrouvait l'esprit de Coubertin.
Et si... et si... avec des si...
Patience, 2005-2012, sept ans se joueront bientôt.