30.8.05

Un dimanche soir sur la Terre.

Bruxelles découvre médusée...


le vrai visage de "Maman",
la fin d'un Mythe qu'il vaut mieux préserver encore un temps dans les brumes de la nuit.

23.8.05

Cette boule qui roule, qui roule,... jusqu'à m'étourdir.

* Le temps passe. Les dernières heures ou derniers jours de ce blog arrivent. Il me faut encore trouver un peu de temps pour m'occuper de sa mort, d'organiser son rite funèbre. Il est bien malade et plus rien ne marche. Il aura connu une belle vie, ephémère mais il aura en quelque sorte remplit sa mission. Il faut préparer son deuil.
Faudra t il faire un lien vers la suite ou couper le fil au cutter pour reconstruire sans se retourner ? je ne sais pas encore. Et ai-je envie de développer un mode de communication avec le lecteur connu ou non ?
* Trois jours en Angleterre, le temps d'un instant. Le séjour entre deux bateaux n'aura duré qu'un instant. Porstmouth, Uppark, Winchester, Salisbury... Mon anglais est meilleur que je n'imaginais. Je me délecte de ces beaux anglais adolescents aux looks impudiques et bien plus libres qu'en France. Il serait trop prétencieux de vouloir goûter à toutes les spécialités locales, ma gourmandise me perdra. Quelques photos graveront les souvenirs de ce rapide voyage.
Trois pays Européens en trois semaines ça restera un record. Il faut déjà repartir.
* Nicolas avait trouvé un nouveau joué, il en est déjà lassé, il l'a cassé, jetté, détruit. Pourquoi ? ne changera t il donc jamais ? Il est temps pour lui de grandir et de "choisir" sans tester-jeter.
* Le temps va me manquer pour achever mes projets à la maison. Quel travail une maison. Peinture, jardin, garage, ... Le chantier avance mais n'est pas encore terminé. Il faudra recommencer ce qui a été achevé.
* Un saut au boulot aujourd'hui, un aspect administratif mais aussi un contacte avec la "grande famille" qui envahit ma vie. Finalement on y revient toujours.
* Ce soir restera celui d'une nouvelle étape dans mon fétichisme. Un nouveau test que je n'avais pas encore fait. Il se passera bien je le sais. Je crois que je suis déjà blasé. Il faudra réaliser bientot le prochain fantasme.
Flo est là, il m'attend. Il est beau, mignon, gentil, décidé, jeune. Il arrive au moment où je ne l'attends pas. Finalement on n'est jamais préparé à la rencontre. Il poursuivra certainement sa route.
* Je pense à Ulysse qui lors de l'un de ses voyages a rencontré sur une planète un homme qui court après le temps. Je crois que c'était moi. Qui pourrait stopper l'espace d'un instant cette "boule qui roule vers l'infini" ?

17.8.05

A méditer.

"Un jour tu me demanderas ce qui est le plus important pour moi :
ma vie ou toi ?
je te répondrais : ma vie car ma vie c'est toi...."

16.8.05

A méditer.

"Haïs moi aussi fort que je t'Aime..." et plus encore si cela est possible (j'en doute).

Le temps d'une pause.

Et bien voilà, aujourd'hui commence enfin mon premier jour de vacances de l'été. Le programme s'annonce chargé et je ne serai pas beaucoup à la maison durant les 3 semaines à venir. Partir, partir n'importe où tant qu'il y a du soleil pour ressourcer mes batteries qui sont vides depuis plus d'un an. Elles se vidaient malencontreusement pour rien.
Il faudra mettre à profit mes courts passages à la maison pour divers travaux d'été et reformater ce blog et mon PC. D'autres projets de site doivent voir le jour depuis un moment mais le temps et le savoir faire me manque, heureusement quelques intenautes viennent à mon secours.
Divers rencontres viendront jalonnées mes vacances, certaines sont attendues avec impatience. Des premières rencontres mais aussi des retrouvailles d'amis quittés il y a trop longtemps.
Les 3 semaines seront très vite passées, trop vite. Profitons de l'instant présent, jouïssons egoïstement afin de tenir les engagements pris en début d'année.
Bonnes vacances à toutes les roses...

10.8.05

Les vacances, où ça ?

On dit souvent qu'en Juillet et Août ce sont les vacances. Et bien visiblement cette année est l'exception... Entre un contexte social et économique fébrile, des 35 heures qui n'ont toujours pas trouvé leur rythme, une météo changeante, les Français sont en vacances. Pourtant l'activité ne semble pas tout à fait au ralenti comme les autres années. Je n'ai jamais autant travaillé que cet été. La confiance reviendrait elle ou bien y aurait il un ras le bol de vivre dans des tendances moroses ?
Du coup les journées filent bien plus vite qu'il ne faudrait. Un véritable marathon depuis des semaines m'empêche de me poser, de faire ce que j'ai à faire à la maison, dans le jardin, d'être présent auprès des amis et de la famille, de répondre aux invitations d'inconnus qui veulent "boire un verre"...
Bref, vivement l'hiver que les vacances arrivent ;).

5.8.05

Voulez vous coucher avec moi, ce soir ?

Quelque chose naît.

Le big bang qui serait à la fois l'origine de l'Univers et peut être aussi la destruction finale de celui ci, ce big bang est en pleine effervescence. Quelque chose au coeur de l'Univers est en train de prendre naissance. Une rencontre, un choc entre deux ensembles de matière au milieu des astres et des planètes, est en train de se produire sans que personne n'y prête attention. Ce choc violent peut entrainer des traumatismes qui modiefiront à tout jamais l'Univers. Nous sommes si fragile dans l'infini et l'immensité de l'Univers.
Il est trop tôt pour pouvoir commenter plus. Les étoiles scintillent comme pour éclairer cet évènement que nous ne savons observer.
L'aviateur se doutait il que, naufragé du désert, il rencontrerait ce Petit Prince ? Aujourd'hui encore il pense que ça n'était qu'un rêve, qu'un mirage au beau milieu du désert dans la chaleur délirante et le sable brulant. Et pourtant... il n'est plus le même, il est hanté et habité par cet enfant qui est parti vers l'au-delà en laissant la richesse de son message. Ce Prince du désert donne vie à sa Rose.
S'il te plait, dessine moi la naissance et la vie...

4.8.05

Quelque chose se meurt.

Elle est toujours là. Elle m'accompagne, discrète mais présente. Elle ne me quitte pas un seul instant. Je le sais.
Aucune peur ne m'envahit. Viendra l'heure où elle accomplira son travail. Sa ponctualité et sa perfection sont sans faille.

Quelque chose se meurt et la souffrance elle même meurt. La mort envahit la cause, les effets, les conséquences... dans toute leur globalité. Je ne connais pas de puissance aussi efficace et radicale. Je suis simple spectateur, détaché de la scène et je subis son action comme on subit un film assis dans un fauteuil confortable. Je regarde la destruction enfantée par une implosion.

L'homme qui m'a le plus manqué.

L'homme qui m'a le plus manqué
Ce matin, s'est envolé.
On dit qu'il n'a pas souffert
Moi, je suis toute à refaire
A recoudre, à réparer.
On ne s'était pas tout dit'manque un morceau à ma vie...
je sais aujourd'hui...que c'est lui
Je m'en retourne à zéro...voir d'autres hommes dans ...ma peau.
Toute ta vie, tu refoules
Toute ta mort en découle
La raison, le refus
Comment distingue-t-on
La question qui tue
Quand elle tue pour de bon ?
L'homme qui m'a le plus manqué
Ce matin, a mis les voiles...
J'ai ce chagrin animal.
Ces longs sanglots déchirés,
Ce noyau dur...incisé
Mes amours n'y sont pour rien...
Me voulaient sûrement du bien...
J'aimerais leur pardonner ce lien...
Leur grand besoin de séduire,
Les femmes enfants...les vampires.
Rien n'est plus profond
A côté de ce vide
De ce désert aride
De ces relents d'abandon.
Maurane.2000

Et si la vie n'était qu'un jeu de séduction permanente...