4.10.05

Mardi.

Mardi matin, une nouvelle semaine commence. Il faut se lever tôt. Changement d'horaires. La télé rediffuse un jeu de couple en attendant les premières infos sur Télématin. Jour de grêve nationale, la circulation s'annonce difficile. Je dois prendre de l'avance.
Mardi midi, un tour à la grande surface du coin pour ravitailler ma vingtaine de collègues en café, thé et sucrettes amincissante. Je suis une mère pour eux. Je suis accueilli tel le Messie à Jérusalem (les palmes et les ânes en moins).
Mardi 17 h, je monte en voiture sur le parking du boulot. Europe 1 et l'équipe de Ruquier m'accompagnent et me font rire, seul dans ma voiture. Les automobilistes doivent se dire que je suis un "bienheureux". Quelques infos me font bondir ou sourire : un million de grévistes selon les syndicats, à peine 500 000 selon la police ; Depardieu l'intouchable assome à coup de tête un paparazi italien ; polémique sur les négociations d'accueil de la Turquie et de la Croatie au sein de l'Europe... et j'en passe.
Mardi soir, à nouveau piscine. J'essaye en soirée le plus tard possible. Demain il n'y a toujours pas d'école et même à 20 h les enfants sont toujours là au milieu des couloirs de natation. A croire que je dois devenir anguille pour me faufiler. Ca n'est décidement pas la soirée idéale pour aller nager. Diner improvisé en famille. Retour à la maison. Il fait froid.

Aucun commentaire: