22.9.06

30 décembre 2003.

"L'année qui s'achève fut de loin la plus éprouvante des cinq dernières, elle m'a vidé, m'a ravagé l'âme et le front. On se trompe évidemment si l'on espère que e temps arrange les choses. Qui croit cela est perdu. (...) Chaque matin sans Stéphane est une défaite annoncée. (...) la douleur me protégeait. Depuis le printemps dernier, elle me tue. Il ne s'agit déjà plus de vivre sans lui mais de mourir. J'écris désormais sur mes rides qui sont les lignes de ma vie."
Il pleut, embrasse moi. (P. Sevran) P 27 & 28

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